Paralysie
Le collègue continuait de se toucher, machinalement, il semblait tétanisé par le spectacle qu’Anne lui offrait.
Il était figé, paralysé, en admiration, fou d’excitation. Il ne savait que faire face à une situation qu’il n’aurait jamais osé imaginer. Alors, la vivre là, dans la réalité ?
Anne continuait de pousser de petits gémissements en se caressant la chatte et en tirant sur sa tétine.
Elle se laissait aller à son plaisir. Après tout, se donner en spectacle était aussi une chose qu’elle aimait particulièrement.
Elle savait que les hommes adorent mater, alors, pourquoi se priver de leur offrir cette vue ?
Une chose l’emmerdait malgré tout ! Elle se trouvait encore trop habillée. Elle aimait le confort de la nudité, elle aimait se dévoiler totalement, montrer sa chatte, montrer sa moule toute entière, révéler son clito, son sexe finement épilée, entretenu ainsi que son Maitre l’ordonnait. Une jolie petite bande de poils. Très fine. Juste ce qu’il faut.
Les yeux fermés, dans sa bulle, se sachant observé, elle se voyait déjà nue, les cuisses grandes ouvertes sur la banquette arrière, son collègue caressant sa queue, le chauffeur la matant dans le retro.
Elle se voyait déjà, exhibant sa moule ouverte, indécente, suintant de d’envie, dégoulinante de plaisir, avide de jouissance.
Elle se voyait déjà, jouir et jouir encore de se donner en spectacle, tirant sur ses mamelles, les giflant à loisirs, tirant sur ses tétines à s’en faire mal.
A défaut d’avoir la rondelle violée par la douleur, celle de ses tétines fiévreusement pincées seraient très bien, très jouissive.
Elle se voyait déjà en train de virer ses godasses, d’enlever son pantalon puis enfin son string pour dévoiler toute son indécence. Elle en crevait d’envie.
Elle ouvrit les yeux un instant. Le chauffeur la regardait toujours. Il échangèrent un sourire. Le collègue était toujours en état de choc, la main sur sa queue. Il ne disait plus un mot.
Anne se sentait fièvreuse, chaude, avide de jouir encore et encore. Elle se pencha et commença par se battre avec les lanières de ses talons. Ce ne fut pas simple, mais il finit par avoir gain de cause. Une bataille qui calma ses ardeurs, un peu.
Puis, elle se tortilla pour enlever son jean. Au moment où elle commença à le faire glisser, le chauffeur la regarda dans le retro, avec un sourire
“Ca ne vous gêne pas ?” lui demanda-t-elle.
Il répondit par un sourire et un regard amusé.
Anne continua alors, elle fit glisser le pantalon à ses cheville, puis, enfin, s’en libéra. Elle était tout sourire, comme une gamine, amusée par sa bêtise. Elle ne garda que ses petite chaussettes blanches.
De nouveau, elle s’installe confortablement, cette fois, tel qu’elle aimait, cuisses grand ouvertes. Bien caler pour que chacun dans la voiture puisse la reluquer. Elle se remit dans sa bulle et repensa à son aventure en taxi de l’autre soir.
Sur l’instant, elle n’avait pas aimé que le type la fasse se mettre à quatre pattes sur le trottoir avant lui tirer les cheveux pour la jeter sur le capot et la violer.
Avec un peu de recul, elle se vit telle qu’elle était : pute, salope, dévergondée. Elle n’avait pas un seul instant émis de protestation.
Et la scène lui apparaissait très excitante désormais. Elle ne l’aimait toujours pas, elle n’aimerait pas la revivre, mais elle l’excitait. Et c’était là quelque chose d’étrange.
“N’y pense pas, pas comme ça, pas de question a dit ton Maitre, si tu dois te faire violer, vois ça comme une baise, laisse tomber, t’es un trou, donne toi en spectacle, fait toi baiser, prend ton pied en les faisant bander, en les faisant jouir, et fait plaisir à ton Maitre, soit obéissante, dévouée, écoute le, apprend, soit son jouet, laisse tomber tes états d’âmes, tu n’en a pas, tu es là pour être baiser”.
Cette pensée la fit monter en température, elle oubliait tout. Son collègue figé, le chauffeur, la route, les 20 minutes de trajet qui restaient à faire, tout.
Elle était en elle, avec elle, avec son Maitre. Elle se complaisait pleinement dans sa luxure, dans sa perversion, il ne lui manquait qu’une bite à sucer.
Cuisses ouvertes, elle s’offrait pleinement. Elle fixa son collègue qui ne manquait rien du spectacle, tout en restant figé.
Désormais, il souriait, un sourire niais, béat. Un enfant qui vient trouver son zizi ! Il était mignon là comme ça.
En fait, Anne était encore plus excitée de le voir ainsi, ça décuplait son envie d’être bien salope, trash, provocante. Elle se régalait de « violer » son esprit.
Elle écartait ses cuisses tant que possible, et d’une main habile, douce et ferme, elle ouvrait moule aussi grande que possible, elle voulait qu’il la voit encore, qu’il la regarde. Et le collègue n’en perdait pas une miette. Le chauffeur se rinçait l’œil, avec délectation.
Anne fixait l’entre jambe de son collègue, il avait l’air de cacher un bel engin, elle se dit qu’il serait bien mieux au fond de sa gorge.
Elle le voulait, elle se voyait bien à quatre pattes, le cul bombé, en train de lui pomper le chibre. Elle finirait bien par l’avoir. Après tout, ils devaient dîner ensemble ce soir et dormir dans le même hôtel.

Pensées
Voilà ma fille, ton défi pour ce soir, ça va faire plaisir à ton Maitre, il sera fier : bouffer la queue de ce collègue coincée. T’as bien fait de prendre une robe transparente, ça va être fun et en plus, y’a un sujet tout trouvé pour le diner.
Ho oui, je vais chasser sa queue, je la veux dans ma gueule, je veux la pomper, et si en plus y’a moyen qu’il me fasse mal au cul, qu’il me déchire la rondelle, alors là…
Elle n’eut pas le temps de finir sa pensée qu’elle fut assaillie par un puissant orgasme qui lui déchira le ventre, une atroce et intense douleur était le prix à payer pour une forte excitation.
Elle se tordait sous l’effet de la douleur. Là, elle ne savourait rien. Ce n’est que plus tard qu’elle pourrait savourer ce moment…
Après que la douleur soit retombée, et s’être rhabillée, elle pouvait enfin retrouver un peu de calme. Elle était frustrée de ne pas avoir eu une bite en gueule. Deux queues étaient là, mais aucune pour la remplir, ni la gueule, ni le cul. Frustrant !
Elle apprécia néanmoins sa frustration qui était le signe tangible qu’elle devenait ce que son maitre exigeait, et elle en était heureuse, parce que c’est bien ce qu’elle voulait depuis tant d’années, sans jamais avoir osé.
Pour elle, être salope n’a de sens que si c’est dans le cadre d’une stricte et totale obéissance à un Maitre.
Elle avait trouvé son Maitre, celui qui la dévoierait corps et âme. Elle s’adonnait à son Maitre, elle obéissait sans plus jamais broncher.
Elle lui envoya un petit message pour l’informer de la scène, puis, elle lui demanda l’autorisation de tout faire pour se faire baiser par ce collègue récalcitrant, elle voulait sa queue, elle voulait qu’il la remplisse, elle le voulait en bouche.
Le Maître fit plus que l’autoriser, il l’y encouragea. Mais lui passa un savon pour ne pas avoir fait de vidéo ou de photos d’elle dans le taxi. Elle s’excusa platement, se sentit honteuse, coupable et promis de se rattraper.
Le Maitre répondit qu’il n’y aurait pas de rattrapage, mais une punition. Elle acquiesça en s’excusant de nouveau.
Ce soir, Maitre, je vais tout faire pour offrir la vidéo de la salope que vous avez dressée, une putain de belle vidéo de la plus grosse des salopes. Et voilà, son excitation remontait en flèche malgré la chaleur et la fatigue.
Le taxi les déposa devant l’hôtel. Le chauffeur remercia Anne pour le spectacle et dit qu’il avait hâte de retrouver sa femme, le tout dans un bel éclat de rire, complice, simple, jovial.
Anne s’adressa à son collègue :
“Tu veux diner où ce soir ?”
“Heu, hé bien à l’hôtel, y’a une terrasse ombragé derrière, ça te va”
“Parfait. On se dit 20h30, le temps de prendre une douche et de se poser un peu ?”
“Oui, parfait. Heu, Anne… désolé pour…”
Elle le coupa net
“T’inquiète, pas de souci, on ne parle tout à l’heure si tu veux”
“Oui très bien”
“Ah, et, heu… j’ai une robe entièrement transparente, je compte la mettre ce soir, c’est ok pour toi ? “
“Heu, oui, je suppose que oui”
“Tu supposes ? Si ça te gêne…”
“Non, très bien, ce sera un plaisir. Oui, vraiment. Je vais aller prendre un verre au bar”
“Parfait, profite bien, je vais me doucher. A tout à l’heure”.
Anne tourna les talons et s’en alla récupérer sa clé. Elle avait envie d’une douche fraîche, d’un moment de solitude, puis, de parler un peu à son Maitre.
Et puis, cette envie de queue… Elle sentait une douce impatience…
20h25. Anne s’observa dans le grand miroir de sa chambre. Sa robe blanche était totalement transparente.
Elle ne masquait rien. Elle osa la nudité totale en dessous, pas de string. Sa chatte serait en vue. Cette petite bande noir entre ses cuisses ferait jaser.

Le diner
Perchée sur ses talons, elle traversa le hall, puis le restaurant et gagna enfin la terrasse, et sa table où l’attendait déjà son collègue en dégustant une bière fraîche.
“Tu n’avais pas menti, elle très transparente cette robe”.
Il semblait plus détendu, plus ouvert, plus serein que cet après midi, se dit-elle en lui souriant. Toi, je vais te bouffer la queue, je vais l’avaler et tu vas me couvrir de foutre, le tout bien filmé pour mon Maitre, j’en salive déjà !
“Anne, je… comment te dire…”
Ca y est, il est encore en train bugger le con se dit-elle. Qu’est-ce qu’il va m’inventer lui encore. Merdre, quelle plaie en fait ce type. Pas mal foutu, mais là haut, c’est un drôle de truc. Il va me parler de sa femme, toussa…la lose.
“Je vais te demander de m’écouter. Vraiment, merci beaucoup, parce que, pfiou, c’est pas facile à dire pour moi”
Elle garda le silence pendant qu’il bouffait ses loches du regard. Elle se dressa avec délicatesse pour lui montrer ses tétines frotter contre le tissu, ses tétines déjà raides, gorgées de plaisir et d’envie plus obscènes les unes que les autres.
“Bien, tu ne m’aides pas” éclata-t-il de rire !
Anne ne dit mot.
“Alors, ce que j’ai vécu cet après-midi, jamais j’ai vu ça de ma vie, jamais. Et jamais je n’aurais cru une femme pouvoir être aussi libre. D’où je viens, ça n’existe pas, c’est impossible. C’est proscrit, banni, honni, tout ce que tu veux, mais une femme ne peut pas faire ça, c’est mal”.
Il marqua une pause tout en se délectant de la vue superbe qu’elle lui offrait. Elle était fatiguée, certes, mais souriante, le teint frais, le sourire éclatant. Une jouvencelle qu’on voudrait déflorer avec toute la perversion masculine possible.
“Et même un homme ne pourrait aimer cela, même si on le pardonnerait, c’est un homme, et chez moi, dans la culture de ma famille, l’homme est faible face à la chair. Alors, oui, je me suis senti totalement bloqué. Pas senti uniquement, je l’étais, tout se mélangeait. Pourtant, toi, tu es vraiment magnifique, c’était un pur plaisir.”
Il s’arrêta, lui adressa un sourire et continua après avoir repris son souffle.
“Et ce soir, tu es tout aussi provocante, c’est splendide. Tu es totalement nue, et pourtant, tu sembles très à ton aise, d’un naturel désarçonnant, comme si c’était normal, et c’est vraiment magnifique. Impudique, limite obscène, mais avec beaucoup d’élégance. Tu éveilles des sentiments tellement contraire, c’est très perturbant”.
Anne buvait ses paroles, à défaut de boire son jus, elle se délectait de ses mots.
Il repris encore une fois son souffle. Et semblait de plus en plus tendu.
“Anne, je… comment te dire cela… Je ne vais pas te parler de ma femme. Rassures toi. Pas envie un seul instant, c’est pas que… non, laisse. Donc, tu éveilles en moi des sentiments qui me secouent dans tous les sens. Et depuis une heure, j’ai beaucoup réfléchi à tout cela.”
J’espère que tu n’es pas fait trop mal mon pauvre, parce que tu sembles souffrir se dit-elle. Bon, tu la craches ta valda.
“Et je crois que tant que je ne t’aurais pas dit ce que j’ai à te dire, je ne vais pas m’en sortir. Je vais donc te le dire comme ça vient, en essayant de rentrer dans ton univers qui semble fort agréable. Alors voilà, déjà je regrette d’être resté figé cet après midi. Vraiment, c’était excitant, mais bon, c’est fait”.
Anne l’écoutait en silence.
“Et là, je vais me lever, te prendre par la main, et tu vas venir avec moi, sans rien dire si tu as l’accord de ton Maitre. J’ai demandé au serveur de me garder la table. Je te conduire dans les escalier, et tu vas me sucer, puis, je vais t’enculer. Ho mon dieu, j’ai cela, ça fait un bien fou en fait !
“Redis le pour voir ?”
“Je vais t’emmener dans les escalier, tu vas me sucer, et je vais t’enculer”
“He bah voilà, avec grand plaisir”.
Il se leva, pris la main d’Anne.
“Alors, c’est comment de se lâcher un peu ?”
“C’est perturbant”
“Oui, je sais, je suis passé par là, ça m’arrive encore un peu, mais ça fait un bien fou. Et moi, j’ai la chance d’avoir mon Maitre. D’ailleurs, j’y pense, il faut que tu me filmes avec mon téléphone, c’est pour mon Maitre, on y tient tous les deux”.
“Pas de souci”.
Il prirent l’ascenseur.
Une fois la porte fermée, il commença à faire ce dont il avait une terrible envie de puis des heures : prendre les loches de cette putain de salope à pleines mains et les malaxer comme un fou.
“Putain, que c’est bon, tes…”
Elle le coupa.
“Mamelles, loches, mais pas seins, je suis une chienne, une salope, et j’ai des mamelles, des loches, les seins, c’est pas pour moi”
“Tes… mamelles, elle sont grosses, agréables sous la main. Je peux te demander de te mettre à nu ?
“Ne demande pas, ordonne, et soit cru, t’en crèves d’envie, et j’aime ça. Allez, donne moi des ordres, je suis là pour ça, je suis éduquée et dressée pour ça, mais commence à filmer” lui dit-elle. Elle prit son téléphone, lança l’enregistrement et lui donna l’appareil.
Il prit l’objet, le braqua sur elle. Il restait trois étages
“Met toi à poil salope, maintenant” d’une voix mal assurée et pleine d’envie.
“Oui Monsieur” répondit-elle. Et fit glisser la robe qu’elle ramassa et lui tendit sagement.
Ils sortirent de la cabine. Et gagnèrent l’escalier. Il la regardait marcher, en se délectant de sa nudité, n’en croyant pas ses yeux..
Elle se posta debout, mains dans le dos. Toute souriante.
“Monsieur ?”
“A genoux salope”.
Il sortit enfin sa queue, belle, large, nervurée, humide.
Elle ouvrit la gueule…
Elle avait enfin ce qu’elle attendait.
Elle était soumise, souillée, humiliée, utilisée pour ce qu’elle faisait le mieux : tailler des pipes, se faire enculer.
Elle savourait cette queue. Dans quelques instants, elle pourrait l’imaginer lui déchirer la rosace, à sec espérait-elle, brutalement, pour finir enfin couverte de foutre, ce qu’elle avait attendu tout l’après midi.
Pour le moment, elle lui pompait le chibre, lui léchait les couilles, elle voulait qu’il vive l’extase de baiser une salope comme elle, une soumise totalement obscène. Elle voulait qu’il s’en souvienne longtemps.
Alors, elle se donnait pleinement, sans aucune retenu, elle léchait, pompait, suçait, la queue, les couilles. Elle se délectait…
Pendant un instant, elle regarda l’objectif, pour dire à son Maitre, regardez moi, regardez moi, je suis votre jouet, obéissante, docile, et voyez votre œuvre, contemplez ce que vous avez fait de moi. Soyez fière de vous Maitre, je suis une trainée. Et je le serais encore longtemps, parce que j’aime sucer sur vos ordres. Ordonnez-moi, ô mon Maitre, et je boufferai n’importe quelle queue, j’ai bien dit n’importe quelle queue.
Il y avait du plaisir dans ce regard, il y avait de la fierté, de la gaieté.
Elle était à sa place. Et lui tardait de retrouver la queue de son Maitre.
En attendant, elle allait se consacrer pleinement à celle qui lui baisait la gueule.
Il l’attrapa par les cheveux et commença à la baiser longuement, ne la laissant pas respirer.
Il avait tant d’années de frustrations à évacuer…
Elle était heureuse d’être le réceptacle de son jus.
La soirée serait belle, et la baise, dans cet escalier, d’un hard sans nom.
