🐺 Si t’as envie d’être sa chienne, t’as déjà franchi la première frontière
On ne devient pas « chienne » par hasard. Ce mot te dévore de l’intérieur. Il gratte, il gratte fort. Il t’humilie autant qu’il t’excite.
Tu le penses, tu le ressens, tu le rêves peut-être la nuit… mais tu n’oses pas encore le dire. Alors on va le dire pour toi : tu veux être sa chienne ? Parfait. On va t’apprendre à l’être vraiment.
Pas une salope générique, pas une soumise polie. Une chienne. Celle qui rampe, qui quémande, qui se transforme en bête pour son Maître.
Celle qui abandonne le langage humain pour gémir, aboyer, obéir. Celle qui choisit cette chute, cette régression, cette offrande.
Tu crois que t’es la seule ? Tu crois que c’est sale ? Faux. C’est pur. C’est viscéral. C’est ta vérité nue, celle que la société t’a appris à taire.
🦴 Être une chienne, c’est quoi exactement ?
🐾 C’est un rôle. Un état. Une jouissance.
Assumer d’être “la chienne de…” n’a rien à voir avec jouer à quatre pattes pendant dix minutes.
C’est un état d’abandon ritualisé, codé, sacré, où tu remets ton humanité à ton Maître pour incarner autre chose. Quelque chose de plus libre. De plus animal. De plus cru.
Être sa chienne, c’est :
- Adopter des postures non humaines (à genoux, à quatre pattes, museau au sol).
- Accepter des codes de communication limités : regards, jappements, halètements.
- Oublier son prénom. Tu deviens “chienne”, “truffe”, “ma bête”.
- Se faire marquer : laisse, collier, cage, gamelle.
- Obéir au doigt, à l’œil… ou au claquement de doigts.
Mais surtout : c’est jouir de cette obéissance. Jouir du regard qu’il pose sur toi quand tu rampes vers lui. Jouir de ta propre déchéance, parce qu’elle est choisie, offerte, assumée.
🐕 Pourquoi cette envie te travaille autant ?
🔥 Parce que c’est la plus radicale des soumissions sensuelles
Le fantasme de devenir une chienne, c’est l’envie de n’avoir plus aucune dignité à défendre face à lui, juste ton désir, ton corps, ta fidélité. C’est la soumission la plus visible, la plus théâtrale, la plus transgressive. Et donc… la plus jouissive.
Maîtresse Velvet en parlait très bien :
Quand une soumise me dit ‘je veux être ta chienne’, je sais qu’elle a déjà brûlé les étapes. Elle est prête à s’oublier. À m’appartenir. C’est un abandon rare et magnifique.”
Ce fantasme convoque :
- Le plaisir d’être réduite, mise à nu, objetisée… et adorée pour ça.
- Le besoin de repères stricts, clairs, limpides.
- Une envie de loyauté totale, presque bestiale, à une figure dominante.
- Une curiosité de la honte érotisée, ce frisson qui monte quand tu rampes devant lui, nue, humiliée… et aimée.
🐶 Les façons concrètes d’incarner sa chienne
🧷 T’as envie ? Voilà comment ça se vit pour de vrai.
1. Le jeu du collier
- Porte-le chez toi, seule. Ressens son poids, son pouvoir.
- Demande-lui de te le mettre, de te l’enlever. C’est son geste, son autorité.
2. Mange à genoux. Dans une gamelle.
- Commence dans l’intime.
- Plus tard, il pourra t’y contraindre… en public, peut-être.
3. Rampe jusqu’à lui.
- Pas juste à quatre pattes. Rampe. Frottis au sol. Obscène.
- Regarde-le dans les yeux. Attends son ordre. Ou son refus.
4. Apprends à aboyer.
- Halète quand il te touche.
- Grogne s’il t’ignore.
- Gémis comme une chienne en chaleur. Assume.
5. Vis une session “animal play”.
- Avec cage, gamelle, promenade en laisse, privation de parole.
- Soigne ta gestuelle : pas d’humanité visible. Juste l’animal.
🐾 Et après ? Ce que ça change en toi
Tu crois que tu vas régresser ? Tu crois que tu vas te perdre ? C’est tout l’inverse. Tu vas t’ancrer.
- Tu vas explorer tes limites mentales, émotionnelles, corporelles.
- Tu vas comprendre à quel point le plaisir peut surgir de l’humiliation volontaire.
- Tu vas forger une intimité avec ton Maître plus forte que toutes les caresses vanilles.
C’est une révolution intérieure. Une mue. Un cri : “J’abandonne la dignité sociale pour embrasser mon animalité érotique.”
🐕🔥 Conclusion : Aboie, chienne, c’est l’heure
T’as le feu. T’as l’envie. T’as cette petite voix qui te murmure que ton plaisir ne viendra pas d’un lit tiède et d’un missionnaire bâclé. Il viendra quand tu ramperas jusqu’à lui, nue, fiévreuse, offerte. Quand il dira “ma chienne” et que ton sexe vibrera de reconnaissance.
C’est ça, le kink ultime : vouloir être abaissée, et s’élever par cette chute.
Alors vas-y. Lâche-toi. Oublie les “je devrais”, les “c’est pas normal”. T’as le droit d’avoir envie d’être une chienne. Et même plus : t’as le devoir de l’explorer si ton corps te le hurle.
Fais-toi guider, forme-toi, trouve un Maître digne. Mais surtout : assume. Et aboie.
Parce que c’est dans ce cri-là que tu découvriras ton plaisir le plus pur.