🧨 tu veux qu’il décide — pour de vrai
Tu veux obéir.
Pas négocier. Pas discuter. Pas comprendre.
Juste exécuter.
À genoux, dans le silence, avec un corps qui suit et un esprit qui s’efface.
Tu veux qu’il pense à ta place. Qu’il porte ton désir. Qu’il décide de ta place. De ta position. De ton rythme.
Pas parce que tu es faible.
Mais parce que tu veux descendre plus bas que le langage.
Et dans cette chute, tu veux jouir comme jamais.
Bienvenue dans le fantasme d’abandon mental.
Ici, le plaisir commence quand la pensée s’arrête.
🧎♀️ L’abandon mental : le luxe de ne plus avoir à choisir
🛐 Offrir ta volonté, c’est offrir tout
Tu passes ta vie à décider.
Choix, responsabilités, contrôle.
Mais quand il te dit « tais-toi, obéis », il t’arrache à tout ça.
Et là, ton sexe s’ouvre. Ton ventre lâche. Ton cœur se rend.
Ce n’est pas de la paresse.
C’est un pacte. Un rituel. Une confiance extrême.
👉 Dans ses ordres, tu trouves un apaisement que rien d’autre ne t’offre :
Tu ne penses plus. Tu ressens. Tu deviens.
🛠️ Comment s’y entraîner : désactiver ton mental, étape par étape
🔧 L’obéissance se pratique
Le lâcher-prise mental, ça ne s’improvise pas. Il faut entraîner ton cerveau à ne plus exiger de comprendre.
💡 Exercice :
- Laisse-lui te donner des ordres simples : “mets-toi au sol”, “ouvre la bouche”, “rampe jusqu’à moi”.
- Fais-le sans attendre d’explication.
- Note ce qui bloque : pensées parasites, besoin d’être validée, peur du jugement.
- Et surtout : accepte l’inconfort de l’inconnu.
C’est là que la vraie soumission commence.
Pas dans le geste.
Dans le silence entre l’ordre et l’exécution.
🔒 À quoi ça sert de ne plus penser ? À descendre dans ton sexe
🔥 Le mental éteint = le corps ouvert
Quand tu lâches le mental, tu descends.
Tu tombes dans ton sexe. Dans ta gorge. Dans ton souffle.
Et tu laisses le Maître orchestrer ton abandon.
- Tu ne décides plus si tu veux.
- Tu ne choisis plus comment tu jouis.
- Tu épouses son désir, et tu t’y dissous.
Et dans cette dissolution, tu accèdes à un plaisir inaccessible autrement.
Celui qui ne vient pas d’un orgasme… mais d’une disparition.
😵💫 reconnaître les limites du black-out érotique
⚠️ L’oubli de soi, ça s’encadre
Il y a une ligne à ne pas franchir :
Quand l’abandon devient dissociation.
Quand tu ne sais plus qui tu es.
Quand tu dis “oui” à tout, même à ce que tu ne voulais pas.
👉 Ce n’est plus du jeu.
C’est un traumatisme qui se rejoue.
💬 Solution :
- Aftercare verbal, retour au corps, recentrage.
- Journal de séance : ce que tu as ressenti, aimé, fui.
- Un Maître qui sait te ramener, pas juste t’éteindre.
🖤 Tu n’es pas que soumise. Tu es une œuvre vivante
🎭 Exécuter sans comprendre, c’est offrir ta confiance nue
Quand tu obéis sans réfléchir, tu ne deviens pas une machine.
Tu deviens une matière offerte à la sculpture de l’autre.
Et cette matière-là, elle n’est ni passive, ni faible.
Elle est pure. Disponible. Sublime.
C’est le rôle de la soumise absolue :
celle qui s’efface pour devenir sensation.
🔥 ta pensée te protège. Son ordre te libère.
Tu veux te rendre.
Alors rends-toi.
Mais rends-toi avec fierté, avec précision, avec abandon.
L’ordre ne te diminue pas.
Il t’ouvre. Il t’allège. Il te recentre.
- Quand il dit “à genoux”, tu descends dans toi-même.
- Quand il dit “plus bas”, tu creuses dans ton ventre.
- Quand il dit “ne pense plus”, tu entres dans l’état pur de la soumise éveillée.
Tu ne te perds pas.
Tu arrêtes juste d’exister en surface.
Et tu te laisses baiser dans l’âme.
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